Grammaire pour la fête des mères (principale et subordonnée)
Lorsque la maîtresse a présenté
et elle a bien senti la
mollesse de ses élèves.
Peu motivés.
Travail préalable:
Les phrases simples/phrases complexes (propositions coordonnées et juxaposées)
Les élèves ont listé tout ce qu'ils aiment chez leur maman,
tout ce qu'ils ont de doux, de tendre à lui dire:
Ma maman sent bon la rose. Ma maman est très belle et très gentille.
Ma maman sent bon le gâteau au chocolat . Ma maman est lumineuse.
De la surenchère de la part de Théo : ma maman sent bon le poireau!
Problème préalable:
J'ai mangé des cerises qui étai (-ent ou -t ) très sucr (é -és-ée ou -ées?)
Les phrases complexes ( construction des propositions principale et subordonnée)
J'aime ma maman. Ma maman sent bon la rose
Répétition évitée grâce au pronom
j'aime maman qui sent bon la rose.
J'adore ma maman qui m'écoute beaucoup.
J'aime ma maman chérie qui m'a donné la vie
La maîtresse a présenté ses petits livres boutons et elle a bien senti la mollesse de ses élèves. Peu motivés. Ils ont même un peu râlé lorsqu'elle les a emmenés en grammaire.
La maîtresse a haussé le ton :
"j'essaye de trouver des occasions pour écrire, pour que vous compreniez qu'écrire ça fait partie de la vie.
La grammaire ce n'est pas que des exercices ennuyeux; les outils de français pour la classe, si on veut bien écrire,
c'est aussi des outils pour la vie.
Et puis finalement, les élèves se sont affairés avec bonheur!
Elle a même perçu la grande oreille d'Eric lorsqu'il a été question de tracer un cercle en cherchant le centre dans le milieu des diagonales du carré.
Une petite digression avec les ribambelles les a amusés.
Mais voilà qu'en écrivant ici, la maîtresse sent les doutes naître, des doutes sur le sens, finalement, de cette grammaire...